Le choix optimal, le dimensionnement ainsi que la compréhension du fonctionnement des cristallisoirs nécessitent l’écriture des bilans:
— bilan de matière, pour estimer la productivité et le rendement de l’opération, envisager ou non des recyclages, dimensionner les appareils à partir des productions souhaitées ;
— bilan thermique, pour évaluer le coût énergétique de l’opération, choisir le procédé le mieux adapté et dimensionner les surfaces d’échange nécessaires.
Ces deux bilans sont classiques mais insuffisants pour prendre en compte les propriétés physiques des particules obtenues. Pour ce faire, il faut introduire le comptage des particules en fonction de leur taille, en s’appuyant sur la méthodologie générale des bilans de population.
Plan :
Plan :
I. Historique.
II. Principe.
III. Différents étapes de la cristallisation.
IV. Design expérimental.
V. Problématiques.
VI. Exemple de la cristallisation des corps gras: la cristallisation fractionnée par voie sèche ou dry fractionnation.
VII. conclusion
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