Dans la dèche à Paris et à Londres, Georges Orwell - Résumé

• Partie 1 - Les personnages principaux
Le narrateur, George Orwell
George Orwell, de son vrai nom Eric Blair, a démissionné de la police indienne impériale de Birmanie pour se consacrer à l’écriture. Il rentre en Europe et habite à Paris, puis à Londres. N’ayant plus d’argent, il décrit la misère qu’il vit au quotidien ainsi que les personnages qu’il rencontre.
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Boris
Boris est un ami russe d’Orwell. Personnage doté d’un optimisme à toute épreuve, jamais à court de relations ni d’anciennes maîtresses, il cherche à travailler comme garçon serveur.
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Paddy
Paddy est un vagabond irlandais qui a perdu son travail. Il voyage à pied d’asile en asile avec Orwell.
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Bozo
Bozo est une connaissance de Paddy. Il est un « artiste des trottoirs » : il crayonne des figures sur les trottoirs pour subsister. Il était auparavant un peintre en bâtiment amoureux d’une jeune femme qui est décédée.
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• Partie 2 - Le résumé de l’histoire
Orwell retrouve son ami Boris qui était garçon serveur, afin qu'il l'aide à dénicher un emploi. Malheureusement, ce dernier a perdu le sien et est dans la même situation que lui. Cependant, son tempérament optimiste lui fait penser qu’ils obtiendront rapidement du travail tous les deux. Ils essuient de nombreux revers et la faim les tenaille puissamment. Ils sont victimes d’une arnaque où des Russes font croire à Orwell qu’il pourrait écrire clandestinement pour un journal communiste, après avoir laissé une commission. Boris a eu vent de cette possibilité par d’autres immigrés. Les papiers consisteraient selon Boris à reprendre à l’inverse les articles du Times. Quand Orwell revient dans le local où il a rencontré les responsables, ces derniers ont disparu. Ils ont ensuite espoir d’être embauchés par un restaurant qui devrait ouvrir dans la quinzaine, mais Orwell remarque que le propriétaire est beau parleur, et qu'il semble poursuivi par des créanciers.
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• Partie 3 - Le thème abordé
La pauvreté
Orwell décrit avec objectivité et sans jugement les personnages, les situations et les lieux qu’il a rencontrés durant cette période de misère. Il constate que la pauvreté modifie la personnalité de ceux qui en sont victimes et créé un monde à part, rejeté par tous ceux qui n’en font pas partie. Il déplore les conditions de travail inhumaines des hôtels et restaurants parisiens dans les années 1920. Il s’agit d’une vie où l’épuisement ne permet pas d’envisager un avenir, mais seulement de supporter le quotidien.
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