Rapport de stage en fiduciaire 18.00 / 20

I. INTRODUCTION Dans le cadre de ma dernière année de baccalauréat en comptabilité, je devais effectuer un stage de fin d’études dans ce domaine. Passionnée par tout ce qui touche à la création d’entreprise (les démarches à suivre, les outils pour une bien gérer une société, les principes de base du marketing, etc.), j’avais orienté mes études vers la gestion. Seulement, j’aurais aimé avoir davantage de connaissance en fiscalité tout en étant en option gestion. Cela n’étant pas possible dans le cadre scolaire, je souhaitais donc effectuer mon stage de fin d’études dans un environnement qui me permettrait d’approfondir mes connaissances dans les deux secteurs. J’avais envie d’évoluer au sein d’une petite structure pour vraiment travailler en étroite collaboration avec mes collègues mais aussi bénéficier d’un bon suivi de mon travail sur place. Et, un de mes objectifs principaux était d’avoir une approche la plus complète possible de la comptabilité pour savoir comment la gérer de A à Z dans une entreprise. C’est alors que rechercher un stage en fiduciaire m’est apparu comme une évidence. En effet, c’était le meilleur endroit où je pourrais apprendre et approfondir mes connaissances tant en comptabilité qu’en fiscalité. Etant donné que je n’ai pas de voiture, j’ai uniquement contacté des fiduciaires situées en région bruxelloise et aisément accessibles en transports en commun. Et, c’est finalement la Fiduciaire Médicale & Associés qui m’a engagée en tant que stagiaire. Pouvoir travailler chez eux me permettait en plus de répondre à une autre de mes envies : découvrir comment s’effectue la comptabilité dans le secteur médical. Ma mère et ma grand-mère ayant exercé la profession d’infirmière, le secteur médical m’a toujours intéressée. J’ai effectué mon stage du 24 janvier au 28 février 2011 à raison de cinq jours par semaine. Mes heures de travail étaient comprises entre 09h et 17h avec une pause de midi qui variait, selon la quantité de travail à fournir, entre une demi-heure et une heure. Les consignes qui m’avaient été fournies par l’EPFC mentionnaient que j’avais plusieurs possibilités en ce qui concernait les horaires de travail. J’ai opté pour un horaire normal de travail à temps plein. Je considérais que c’était la meilleure façon de me plonger dans le travail de comptable, d’apprendre un maximum de choses. Et, la répétition quotidienne de certaines tâches me permettrait de retenir plus aisément la marche à suivre. La qualité de mon travail au sein de la fiduciaire a été appréciée ; si bien qu’à la fin de mon stage, le responsable de la fiduciaire m’a proposé de m’engager en tant qu’aide-comptable. J’ai accepté son offre et j’ai fait mon entrée officielle dans le monde du travail le 1er mars 2011.