Ce document est un cours sur le libertinage, savez vous ce qu'est réellement le libertinage, sa définition est plutôt d'une nature légère, alors qu'il représentait un réel mouvement de pensée entre le 17 et 18 ème siècle.
Il se propagea à travers les mœurs, c'est une opposition forte à l'église et au pouvoir, les libertins étaient pour la plupart, des philosophes, des écrivains, scientifiques, mais surtout des hommes curieux et désireux d'avoir une plus grande ouverture d'esprit.
Si vous souhaitez en savoir plus sur ce mouvement de libertinage, ce document est fait pour vous et vous apprendra plus sur le message profond que souhaite faire passer ses hommes à travers des écrits, des pièces, etc.
Le terme "libertin" vient du latin et signifie " esclave qui vient d'être libéré". On s'entends par là libéré du pouvoir, de la religion, libéré de tout ce qui fait de lui, un homme enchaîne à des convictions religieuses, politiques et qui ne sont au final par les siennes. Un libertin était une personne, souvent un homme, qui remettait en question, les règles établies souvent par L'église.
Aujourd'hui, on associe le terme libertin à une personne plus ou moins légère et qui a une liberté sexuelle. Ce terme s'inspire plus des épicuriens, car les libertins du 17ème siècle, avait une mission plus sérieuse que cela, malgré que les plaisirs charnelles fassent bien sûr intégralement partit de leurs philosophie, puisqu'il n'appartenait à aucune religion, aucune politique. Et la plupart du temps, écrivait sous l'anonymat craignant la censure.Des sociétés secrètes furent créées, des écrits interdits par l'église.
A l'époque être libertin était un crime et était passible de la peine de mort,plusieurs libertins furent d’ailleurs guillotinés, d'autre contraint à l'exil ou à la prison.
Le plus connu de ce mouvement reste quand même le marquis de Sade, qui à cause de ses écrits plutôt sulfureux, passa la majorité de sa vie en asile psychiatrique avant d'y mourir. Les écrits des libertins, prenait souvent comme cible la monarchie et ses représentants, c'est pourquoi beaucoup furent contraint à la censure. La monarchie n'acceptant pas d'être critiquée et d'ailleurs craignait de tels ouvrages , de peur que le peuple se retourne contre elle.