Le climat des ide en algerie 16.00 / 20

L’ensemble des spécialistes ont établi un constat unanime pour la dépendance sur l’économie algérienne vis-à-vis de l’hydrocarbure. Cette situation représente un réel danger pour les générations futures de notre pays ; puis que l’économie nationale est basée sur une richesse qui possède deux caractéristiques principales : - la non pérennité, s’agissant d’énergie fossile donc non renouvelable et les réserves algérienne en les matières sont estimées au plus à 30 ans au rythme d’exploitation actuelle. -La volatilité résultant de l’extrême sensibilité des hydrocarbures aux facteurs géostratégiques avec pour conséquence une instabilité des prix. A partir de ce constat, les pouvoirs publics ont engagé une stratégie de diversification de l’économie nationale, une stratégie qui dans l’un des segments réside dans l’encouragement et l’attraction de l’investissement directe étranger comme moyen d’augmenter la capacité de production et d’exploitation économique. Le présent mémoire va s’atteler à évaluer le niveau d’attractivité que représente le marché algérien par rapport aux investisseurs étrangers avec pour problématique centrale : « Est-ce que le marché algérien offre aux investisseurs étranger des conditions optimales, pour la faisabilité et la rentabilité de leurs investissements ? ». Pour répondre à ce questionnement, il va nécessairement nous amener à nous interroger sur : - le cadre légal de l’investissement en Algérie et les mesures incitatives qu’il prévoit ? - les contraintes réelles rencontrées par les investisseurs étrangers pour la concrétisation de son projet. Comme ligne directrice de notre travail de recherche nous avons formulé deux hypothèses : 1ere hypothèse : l’investissement direct étranger peut être d’un apport certain à la stratégie de diversification de l’économie nationale. 2eme hypothèse : l’Algérie n’accueille que les investissements de type spéculatif passent pour être une « vache laitière » que les investisseurs étrangers exploitent à leurs seul profit.