Dissertation moderato cantabile l'oeuvre de marguerite duras 15.00 / 20

Au travers de la scène de crime qui va fasciner cette femme, on peut aussi se rendre compte de l'impact du cri de la femme morte, tuée, assassinée par son amant sur la femme bourgeoise, elle va lors d'une conversation avec Chauvin dévoiler qu'elle n'a crié qu'une seule fois de la même façon, lorsqu'elle a eu son enfant, à l'accouchement (chapitre III): « j'ai crié, si vous saviez ». Ce rapprochement est troublant, et renforce ce sentiment de relation double entre la mère et son fils, entre l'amour qu'elle lui porte et sa façon de percevoir sa venue au monde, comme si c'était un amour meurtrier.