Le site de réseau social Facebook est devenu un acteur incontournable du Web en l’espace de six ans. Créé en 2004 par des étudiants de Harvard, il compte aujourd’hui près de 350 millions d’utilisateurs actifs.
L’analyse de quatre documents de sources différentes ont permis de dégager des arguments et contre arguments.
Ce travail dialectique a pour mission d’évaluer si son utilisation présente des entraves à notre vie privée.
Tout d’abord, la première constatation qui se dégage est que nos « amis » sur Facebook ne peuvent pas tous être nommés ainsi. La relation se base superficiellement sur la comptabilité des personnes et résulte de tests et quizz permettant de repérer les points communs qui pourrait construire une amitié. André Moudoux a marqué son désaccord sur ce point, il prône l’amitié comme étant l’amour de l’autre et de savoir accepter justement les différences de chacun. Selon l’auteur, Facebook se distingue par l’hyper individualisation. La démarche de s’intéresser a l’autre est banalisé et les gens livrent tout d’eux même.