Les accords de bale (i et ii) 18.00 / 20

Malgré le développement exponentiel de la finance mondiale ces dernières décennies, l’environnement bancaire est devenu très instable et très vulnérable face aux différentes fluctuations de la sphère monétaire. En effet, les banques en tant qu’entreprises, sont soumises à une panoplie de risques. Malheureusement, aucune technique bancaire ne s’est avérée efficace pour protéger parfaitement le banquier. Le risque zéro est donc un concept loin de la réalité. A cet effet, le risque apparaît comme l’un des défis actuels des dirigeants pour le définir, le mesurer et le gérer afin d’améliorer la performance. En 1974, la liquidation de la banque allemande HERSTATT a eu un effet domino sur beaucoup de banques. Sa faillite a causé une grave crise sur le marché des changes et a engendré toute une série de mesures de sécurisation du dénouement des opérations interbancaires. Ces nouvelles normes de sécurisation et de prévention du risque sont édictées par le comité de Bâle.
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Plan :

I Risque bancaire et Bâle I M I.1 Inventaire des risques bancaires A. Risques bancaires traditionnels : 1. Risques financiers :  Le risque de crédit (ou de contreparti  Le risque de liquidité 2. Les risques de marché 3. Risque de nature qualitative : I.2 Le risque opérationnel II-Les accords de Bâle I II-1. Historique du Comité de Bâle II-2. le ratio de Cooke II-3. Le processus de gestion des risques II-4. Réglementations et exigences prudentielles II-5. Limites des accords de Bâle 1 III Bale 2 III.1 Nécessité d’un nouvel accord : III.2 Les risques considérés par Bale 2 III.3 Piliers de Bâle 2 et démarche IV- Faiblesses et conséquences des accords de Bâle
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