Une charogne baudelaire

Dans ce poème comme dans celui de Baudelaire, le mouvement du texte est le même ainsi que, en apparence, le propos. En effet, dans un premier temps, le poète présente l’objet de sa vision, ici la fleur, dont il suppose toute la splendeur. De même, au début du texte de Baudelaire, la carcasse a l’air « superbe » (v.13), et est présentée dans un cadre bucolique (de nature). Puis, le poète constate la dégradation de la fleur ou de la charogne et dans un dernier temps s’adresse à la femme aimée pour la mettre en garde contre le temps qui passe et faire de l’objet observé le miroir de cette femme destinée, comme tout être, à mourir.