Parler de la revolution au maghreb

PARLER D’UNE REVOLUTION I-aIl est naturel qu certaine formes de gestion ne soient plus de mise .une grande partie des entreprises, souvent non affiliées à ses structures sont dan l’illégalité.ceux qui prélèvent les cotisations sociales et ne le versent pas sont légion. a-On assiste à des situations catastrophiques où des salariés ne peuvent bénéficier des faibles prestation de la CNSS alors qu’ils ont cotisé ; ou que leur patron a prélevé sur leurs appointements les cotisations sociales .d’autres prélèvement la TVA à leurs clients et ne la reversent pas au fisc .cela relève du pénal, bien que l’Etat n’ait jamais esté dans ce sens. II-bToutes les institutions représentatives ont un grand rôle à jouer d’abord : -en défenseur de la transparence plaidant la fin du clientélisme -de la corruption et de tous les comportements anti-concurrentiels II-a Le renforcement des institutions démocratiques,en tant que groupe de citoyens .qui renforcement de la démocratie dit meilleur gouvernance ;les gouvernants étant sanctionnés positivement ou négativement ,par les électeurs en particulier sur le bilan économique. Il faut sonner le tocsin (alarme - alerte) de la mobilisation ,pour une participation de poids au débat public Un soutien aux réformes,y compris celles qui mettent fin aux pratiques de l’élaboration des politiques publiques. Parler d’une révolution qui serait porteuse d’une issue démocratique pour l’ensemble du monde arabe est une hypothèse optimiste qui ne se fonde pas sur les réalités palpables .les exemples de pays où des éléments de démocraties existent depuis longtemps,sans aboutir à un processus de démocratisation réelle devraient inciter à plus de prudence .on ne passe pas d’un système féodal à la démocratie sans une profonde transformation sociale .les analystes perdent de vue deux points importants. D’abord que la démocratie présuppose l’accès à la modernité et que cet accès présuppose, lui l’émergence de l’individu .ce processus est très différenciés,l’Égypte et surtout la Tunisie n’étant pas comparables à la Libye ou au Yémen .le second point est que la transition vers l démocratie est fonction aussi de l’histoire des pays ,selon qu’ils ont déjà connu la démocratie,et alors le processus est ultra-rapide ou pas.il fut rappeler dans ce contexte que la transition française a duré 70 ans . Des mouvements mettant à bas un absolutisme d’un autre âge, introduisant des éléments de démocratie ;initiant une transition qui dépend des transformations sociales .c’est énorme !et ce la va induire des changements extrêmement important dans les relations internationales . II-b La révolution arabe est un phénomène que personne ne peut pronostiquer les contours exacts , il faut se rendre aux évidences : -1ere est que ces révolutions ne revêtent aucun caractère islamiste et que la position vis-à-vis d’Israël n’est nulle part au centre du mouvement des masses. -la seconde ,c’est qu’il faudra compter avec des changements notables et s’y adapter . Il faut mettre a l’ordre du jouir *Le développement humains :la qualité des infrastructures *La misère des peuples Solution il faut lancer un véritable plan marshal sur le plan économique Crée à moyen terme une zone de croissance au profit de la région grand Magréb -pays de golf. Changement dans les politiques régionales L’intégration économique a l’économie internationale Création d’ensemble des régionaux qui devient une nécessite impérieuse Au Maroc l’initiative des grandes réformes appartient à l’institution monarchique .mais elles sont le fruit de consensus avec les différents acteurs. L’exception marocaine,c’est justement l’existence des canaux d’intermédiation sociale (politique et homme d’affaires se sont saisies du mouvement pour prendre en charge les revendications) .les revendications ont lieu sans porter atteinte à l’immense popularité du Roi :l’évolution des institutions de l’approfondissement des réformes ,un débat national pour un consensus avancé dans le cadre du régime dont la légitimité n’est pas remise en cause ,loin de là ! (mais là aussi ,la situation n’est pas figée et ce qui est vrai aujourd’hui ne le sera pas nécessairement demain .tout dépendra de la réponse politique apporté à l ébullition actuelle .la logique voudrait que l’on aboutisse à un train de réforme nouvelles.avec un agenda précis a horizon 2012. En Algérie : le revendications démocratique n’existent pas en Algérie .seulement ;la rigidité du régime a réveillé chez l’ensemble le souvenir de la guerre civile et des dizaines de milliers de morts .ce traumatisme agit comme un frein à toute contestation pouvant se transformer en affrontement direct avec le pouvoir ;les généraux :par ailleurs ;les espace démocratiques existants ,la fin de l’état d’urgence et du monopole sur les medias publics,agissent comme une soupape de sécurité ;la rente des hydrocarbures permet de financer la paix sociale : et si on remonte l’histoire Le peuple algérien a payé le tribut le plus cher à l’indépendance et qui a ensuite subi une guerre civile de 10 ans dont le stigmate sont flagrant. Donc pour le peuple algérien la stabilité est donc la première priorité.
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Plan :

I-les responsabilités des différentes institutions a-l'informel de l’économie maghrébine b-le rôle des institutions représentatives II-comment le grand Maghreb va-t-il changer? a-le renforcement des institutions b-la révolution surprise des arabe conclusion -cas du Maroc et Algérie
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