Plus ou moins 1 personne sur 10 résidant en Belgique est d’origine étrangère.
L’ouverture de l’Europe à l’Est facilite la mobilité des travailleurs et le flux des nationalités aux sein des états.
Dans le passé l’immigration à été encouragée par l’état. Que sont devenus les enfants de ces migrants ?
L’immigration en Belgique…
Après avoir surtout été une terre d’émigration, la Belgique devient une terre d’accueil à partir de la première guerre mondiale, quand les mines de charbon ont un besoin important de main d’œuvre. A chaque période de croissance économique, l’État va faire appel aux étrangers, tandis que les crises économiques déclenchent une fermeture des frontières ou un durcissement des conditions d’accès.
L’immigration au 19esiècle
La Belgique du 19e siècle est plus un pays d’émigration que d’immigration : il y a davantage de Belges résidant à l’étranger (surtout en France) que d’étrangers résidant en Belgique.
En 1890, la Belgique compte moins de 3% d’étrangers, provenant essentiellement des pays frontaliers (France, Allemagne, Pays-Bas, Luxembourg). Ils constituent une population très diverse qui regroupe des artisans, des commerçants, du personnel de maison, etc.
Plan :
Les Golden Sixties ou l’âge d’or de l’immigration dans les années 1960
La fin de l’immigration de travail
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