L'absurde et ses caracteristiques

Plan :

Après la seconde guerre mondiale, de nombreux artistes français ressentent la nécessité d'instaurer un théâtre citoyen, populaire et engagé, pleinement intégré dans la vie de la cité. Entre 1947 et 1967 on voit naître la triple naissance du théâtre populaire, du théâtre engagé et notamment du théâtre de l'absurde. Celui-ci apparaît en premier lieu en France avec deux très grands dramaturges Eugène Ionesco et Samuel Beckett et en Angleterre grâce a Harold Pinter. Il s'agit du théâtre de l'après guerre. Le terme de théâtre de l'absurde est formulé par un par un écrivain et critique dont le nom est Martin Esslin ( ce fut le premier homme qui a définit dans un de ses ouvrages la notion de « théâtre de l'absurde en 1962 ») d'ailleurs depuis cela cette expression devint populaire. L'absurde connut son succès dans les années 50 mais son influence se manifeste jusqu'aux années 70. Il s'agit d'un genre traitant l'absurdité humaine et de la vie qui mène l'humanité à la mort. L'origine de cette pensée est sans conteste le traumatisme dont les personnes étaient victimes lors de la seconde guerre mondiale (Auschwitz, dénonciation, la Gestapo etc) et la chute de l'humanisme. Le théâtre de l'absurde fus le mouvement le plus populaire des mouvements de l'avant garde. Il fut influencé par l'existentialisme d'Albert Camus et de Jean Paul Sartre. Le mouvement de l'absurde fut propagé jusqu'aux Etats-Unis par Edward Albee. Ce mouvement veut aussi nous montrer que l'homme ayant un mort assurée est impuissant face a l'univers et à sa destinée. Le théâtre de l'absurde comme dans l'existentialisme exprime l'absurdité de la vie mais la différence est que le théâtre de l'absurde l'exprime dans un langage lui même absurde tandis que l'existentialisme l'exprime dans un discours parfait et cohérent. Malgré cette ressemblance philosophique les dramaturges de l'absurde refuseront d'appartenir au mouvement existentialiste