Le mot heureux renvoie au bonheur et l’adjectif vertueux renvoie à la vertu. C’est donc du lien entre moralité, ou devoir moral, et bonheur dont il est ici question.Le bonheur semble d’abord être ce que recherche au plus haut point tout hommes. C’est ce qu’énonce Platon dans Euthydème lorsqu’il demande : « N’est il vrai que, nous autres, Hommes, désirons tous être heureux ? ».
Toutefois, qu’est ce que le bonheur ? Dans l’Ethique à Nicomaque, Aristote souligne que tous s’accordent pour dire que le bonheur, la vie heureuse, est une vie de plaisir. Cette définition qui fait correspondre le bonheur au plaisir porte un nom : il s’agit de la définition hédoniste du bonheur.
S’il n’y a pas de bonheur sans liberté, il n’y a pas de liberté sans loi. Etre libre c’est être autonome et être autonome c’est agir en fonction de la loi universelle qu’on s’est prescrite et dont la source est la raison. Cette loi est la loi Morale.
Cette définition ne va pas de soi : D’abord parce qu’une vie faite de plaisir serait nécessairement marquée d’incomplétude. Or, le bonheur correspond à un état de satisfaction complète qui se caractérise par sa stabilité.
Par ailleurs, une vie faite de plaisir serait une vie de contrainte. Or, il ne semble pas qu’il y ait de bonheur possible sans liberté, plus encore, il ne semble pas qu’il y ait de liberté possible sans vertu. Autrement dit, la liberté irait de pair avec la morale. D’où une seconde définition du bonheur, il s’agit de la définition eudémoniste.
Le mot heureux renvoie au bonheur et l’adjectif vertueux renvoie à la vertu. C’est donc du lien entre moralité, ou devoir moral, et bonheur dont il est ici question.
Le bonheur semble d’abord être ce que recherche au plus haut point tout hommes. C’est ce qu’énonce Platon dans Euthydème lorsqu’il demande : « N’est il vrai que, nous autres, Hommes, désirons tous être heureux ? ». Toutefois, qu’est ce que le bonheur ? Dans l’Ethique à Nicomaque, Aristote souligne que tous s’accordent pour dire que le bonheur, la vie heureuse, est une vie de plaisir.
Dans le Gorgias de Platon, la thèse de Calliclès est nette : la vie heureuse réside dans l’incontinence, dans l’assouvissement de tous les désirs. Le bonheur se trouve dans la sensualité, dans la licence, dans la concupiscence, bref, dans la liberté sans réserve. Le reste n’est que futilité.
Il faut, autrement dit, aux passions la plénitude de l’assouvissement. Le bonheur se résumerait-il à une vie de jouissance incessante ? Pourtant, cette thèse pose problème. En effet, une telle vie de jouissance nécessite l’incessante recherche de plaisir, la recherche continue de satisfaction de tout les désire.
De fait, il semblerait qu’il n’y ait paradoxalement pas de liberté sans contraintes. Mais cette contrainte ne doit pas être extérieur à soi, mais au contraire, venir de soit. En d’autres termes, être libre consisterait à obéir à une certaine règle, ou loi de la raison, que je me prescris moi-même. L’obéissance à une loi que je m’impose à moi-même s’appelle l’autonomie.
je vous propose un cours de philosophie sur le bonheur, c'est un cours qui peut parfaitement vous servir, si vous recherchez un entraînement en dissertatio ...
rapport sur l’ambiance de travail chez Google axé sur le bien être ...
super
bien
ca dépend de chacun l'expérience peut influencer sur leur choix
Merci pour ce bon texte bien rédigé et qui appuie ses argument avec des citations d'auteurs. Il aurait juste fallu mettre l'origine précise des citations (livre/chap). Il aurait également été intéressant de mettre en lumière ces considérations avec les considérations des philosophe moderne ou contemporains.
Il y a de bons arguments. J'aurais souhaité une dernière partie à ta rédaction. Mais je vais pas me plaindre, car ton document est intéressant! Joli travail.
Bon document qui est assez simple à comprendre , enfin pour moi..
merci l'auteur pour ce travail!
Je le conseille ;)
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merciiii