Il a fallu atteindre 1975 pour voir se concrétiser sur la scène internationale l’idée d’une banque islamique. Ces institutions sont apparues comme une forme nouvelle et originale de banque. Dès leur apparition, les banques islamiques ont cherché à s’établir dans plusieurs régions du monde, aussi bien dans les pays islamiques que dans les grands centres financiers d’occident et d’ailleurs.
En effet, à la fois religion et communauté, l’Islam recouvre aussi bien les aspects spirituels que le quotidien de l’humain. En effet, le Coran, source par excellence du droit musulman, indique autant les obligations spirituelles de l’homme, telles que la prière, la zakat…, que l’allure économique de sa vie.
En effet, la théorie économique de l’Islam se base sur les principes suivants :
valorisation du travail
encouragement à la participation aux bénéfices et aux pertes dans les investissements
condamnation de la thésaurisation
Le profit sans contrepartie est défini à partir de trois composantes :
- un profit sur un montant prêté
- une clause qui prédétermine le montant à rembourser
- une échéance
Il a fallu atteindre 1975 pour voir se concrétiser sur la scène internationale l’idée d’une banque islamique. Ces institutions sont apparues comme une forme nouvelle et originale de banque. Dès leur apparition, les banques islamiques ont cherché à s’établir dans plusieurs régions du monde, aussi bien dans les pays islamiques que dans les grands centres financiers d’occident et d’ailleurs.
En effet, à la fois religion et communauté, l’Islam recouvre aussi bien les aspects spirituels que le quotidien de l’humain. En effet, le Coran, source par excellence du droit musulman, indique autant les obligations spirituelles de l’homme, telles que la prière, la zakat…, que l’allure économique de sa vie.
En effet, la théorie économique de l’Islam se base sur les principes suivants :
valorisation du travail
encouragement à la participation aux bénéfices et aux pertes dans les investissements
condamnation de la thésaurisation
Le profit sans contrepartie est défini à partir de trois composantes :
- un profit sur un montant prêté
- une clause qui prédétermine le montant à rembourser
- une échéance
Il a fallu atteindre 1975 pour voir se concrétiser sur la scène internationale l’idée d’une banque islamique. Ces institutions sont apparues comme une forme nouvelle et originale de banque. Dès leur apparition, les banques islamiques ont cherché à s’établir dans plusieurs régions du monde, aussi bien dans les pays islamiques que dans les grands centres financiers d’occident et d’ailleurs.
En effet, à la fois religion et communauté, l’Islam recouvre aussi bien les aspects spirituels que le quotidien de l’humain. En effet, le Coran, source par excellence du droit musulman, indique autant les obligations spirituelles de l’homme, telles que la prière, la zakat…, que l’allure économique de sa vie.
En effet, la théorie économique de l’Islam se base sur les principes suivants :
valorisation du travail
encouragement à la participation aux bénéfices et aux pertes dans les investissements
condamnation de la thésaurisation
Le profit sans contrepartie est défini à partir de trois composantes :
- un profit sur un montant prêté
- une clause qui prédétermine le montant à rembourser
- une échéance
une autre opinion toujours cobstructive sur la notion de credit