Banque centrale te la politique monétaire

Exposé : la banque centrale et la politique monétaire 16.5/20 Introduction : Elle a souvent était réputée d’être objet de discussion et surtout d’opposition, prônant respectivement un contrôle et une liberté de création monétaire. Notamment dans le contexte de la crise de 1929 ce qui imposa l’idée que la profession d’une banque centrale doit faire objet de contrôle car les fluctuations de l’activité bancaire sont susceptibles d’avoir un ralentissement sur l’ensemble de l’activité économique. Il eu aussi existence d’une contre verse afin de déterminer l’objectif de la politique monétaire : est-ce la croissance du revenu national ou la maîtrise de l’inflation ? Dans l’objet principal de notre exposé, nous essayerons de répondre à l’ensemble de ces questions : -où l’on est de la banque centrale ? -quels sont ses mécanismes d’intervention ? -on verra aussi le degré d’application de la politique monétaire, Autrement dit quels sont les critères qui conduisent un pays un suivre une telle ou telle politique monétaire ?et comment elle agit sur la sphère réelle à travers la distribution de crédits ? - enfin, on intégrera le cas algérien dans le statut de la politique monétaire au sein d’un système bancaire qui n’eu le droit de fonctionner en toute logique commerciale et critère de rentabilité. Titre1 : la banque centrale : 1-Définition : la banque est un établissement à crédit, ayant pour objet de procurer des services financiers aux particuliers et aux entreprises, qu’elles soient privées ou publiques. Lier a cette dernière la banque centrale est la banque des banque à part entière une institution monétaire qui détient une place prédominante dans toute les nations. Elle supervise la situation bancaire et monétaire d’un pays, elle est chargée d’appliquer la politique monétaire. Il est à noter que les banques centrales n’ont pas un rôle identique ou la même organisation dans tous les pays. Cette institution peut être totalement indépendante comme la banque centrale européenne, ou partiellement l’exemple de la réserve fédérale des USA comme elle peut être totalement dépendante et on ne trouvera pas un meilleur exemple que la banque centrale d’une économie centralisé. 2-les rôles et les attributions essentielles de la banque centrale : La fonction de la banque centrale ne s’arrête pas au rôle traditionnel de pouvoir émettre des billets de banque ; elle supervise encore 3autres fonctions : -Elle est la banque de l’Etat et de toute les banques : lorsque le trésor publique ou les banques de second rang n’ont pas suffisamment de ressources ils font recours à l’emprunt au prés de la banque centrale pour ce qui est du trésor public ou un refinancement en période de sous liquidité pour les banques commerciales par exemple. C’est à ce titre qu’elle est qualifiée de « préteur en dernier recours » -Le contrôle des banques primaires sur leur stabilité et le respect des règles émises par les principes de bale. De ce fait elle constitue l’autorité monétaire qui réglemente l’activité des établissements de crédit, elle veille au respect de l’ensemble des règles prudentielles d’activités et vise a couvrir les risques d’insolvabilité des banques. Certaines banques centrales interviennent directement sur l’activité des banques en contrôlant le volume des concours financiers qu’elles étaient contraintes d’accorder, permettant ainsi le contrôle direct sur la progression de la masse monétaire. -La mise en œuvre de la politique monétaire et économique par la fixation des taux directeur et de réserves obligatoires ainsi que l’intervention sur le marché monétaire et le marché de change (gestion des réserves de changes). La banque centrale participe à la stabilisation des relations monétaires extérieurs, car elle opère à l’achat de devises lorsque la monnaie nationale à tendance à s’appréciée et à la vente dans le cas contraire 3- mécanismes et domaines d’intervention : vue les différent rôles qui sont attribuer à cette institutions elle est tenue d’intervenir dans certains domaines d’activité, elle travaille en étroite collaboration avec le ministère chargé des finances et du budget pour l’application de la politique monétaire. *La banque centrale agit sur les crédits à l’économie à travers les taux directeur qui sont les taux d’intérêt qu’elle fixe pour les banques commerciales en besoin de financement et ces derniers détermine le taux d’emprunt à leur tour. *Limiter les sommes déposées par les banques à l’emprunt à travers le fait de définir le taux de réserves obligatoires. *Avec les banques commerciales elle est responsable de la surveillance de l’utilisation de l’épargne des déposants à travers la gestion de leurs dépôts et la surveillance de leurs opérations. Jusqu’au la faudrait retenir : Une banque centrale est aujourd’hui, à titre principal, une autorité financière qui définit et met en œuvre une politique monétaire en vue de préserver la stabilité des prix. En agissant sur la quantité de monnaie circulant dans un pays, soit au travers du maniement des taux d’intérêt, soit en agissant sur le niveau de liquidités des banques, la banque centrale contrôle la progression de la masse monétaire. Pour ce faire, elle participe également à la gestion des relations monétaires extérieures, en déterminant le régime des changes et la parité de sa monnaie nationale par rapport aux devises étrangères. Titre2 : la politique monétaire : 1-Définition : une Politique est une discipline académique centrée sur l’étude de l’émission de règles, et la politique monétaire n’on est alors que l’ensemble de moyens, de décisions d’instrument et d’objectifs décidés et élaborer par les autorités monétaires pour influencer l’activité économique, le niveau des prix, et ce en régulant soit à la hausse soit à la baisse le volume de la monnaie et son coût. 2-les objectifs : il est nécessaire pour atteindre ses buts de fixer des objectifs, qui peuvent être répartis en trois grandes catégories : a- instruments ultimes ou finales : se confondent avec les objectifs de la politique économique qui regroupes, les quatre points du carré magique de KALDOR - la croissance économique -la stabilité des prix (maîtrise de l’inflation) - la maîtrise du niveau de chômage -maîtrise de l’équilibre extérieur à travers la maîtrise du solde de la balance commerciale. b- objectifs intermédiaires : se sont des variables, des statistiques monétaires qui sont manipulés par la banque centrale ces objectifs sont ceux d’une BC indépendante, ils doivent avoir 3conditions : → Disponibles et mesurables. → avoir le lien avec les variables du réel. → doivent avoir un impact direct ou indirect sur l’économie. Exemple des agrégats monétaires, taux d’intérêt et du taux de change. Le choix de ces indicateurs dépend de deux facteurs - le cadre institutionnel de l’économie c.à.d le circuit de financement de l’économie soit par les banques ou le marché. - le cadre théorique dans le quel s’inscrit le pays : qui est le courant théorique de la politique monétaire. C’est ces deux axes qui influent sur le choix des 3 précédent : les monétaristes utilisent M3 les keynésiens utilisent le taux d’intérêt et les libéraux optent pour le taux de change (↓du tx de change →↑de la production.) c- objectifs opérationnels : les 3 indicateurs précédemment cités en haut ne donne pas la nature de la politique monétaire (restrictive ou expansionniste). Mais les objectifs opérationnels qui sont des indicateurs et des statistiques monétaires qui permettent de donner la nature de la politique monétaire à des opérateurs, à des marchés extérieurs d’une manière rapide. C’est le taux d’intérêt à court terme ; qui est le taux qui s’exerce sur le marché monétaire pour donner la nature de la politique d’un pays via aux autres. 3- les instruments de la politique monétaire : Il existe deux instruments de la politique monétaire, directe et indirecte. 1-Direct : l’encadrement et la sélectivité du crédit : c’est l’opération par la quelle la banque centrale limite la création monétaire et le montant des crédits à louer. L’encadrement vient de l’Etat ainsi que la sélection des secteurs qui vont bénéficier du crédit. Cette instrument permet le contrôle direct sur la progression de la masse monétaire, bondonné puisqu’il → constitué un frein pour la concurrence entre banques →contradiction avec le mouvement de mondialisation. 2-Indirect : se sont des instruments qui n’ont aucun effet sur le crédit, car ils se basent sur le principe de refinancement des banques de second rang vers la banque centrale. 2-1-Les réserves obligatoires : ces réserves avait comme principe de répondre à la demande des agents économique épargnants, se sont des fractions ou des parties des dépôts qui sont mis au niveau de la banque centrale; lorsque cette dernière voudra limiter la création monétaire elle augmente la fractions des réserves obligatoires et inversement. Ce qui influence sur la distribution de crédit. 2-2-Le taux de réescompte : d’abord faudrait définir l’escompte qui représente la relation entre l’agent financier et non financier par la quelle l’agent financier vend un effet de commerce à la banque commerciale la banque offre en retour une somme d’argent et elle prend en garantit cette effet non échus ; le réescompte quant à lui est la même opération par la quelle les banques commerciales revendent cet même effet de commerce (représentatif de crédit) a la banque centrale et si cette banque qui exige un taux d’intérêt. L’inconvénient est que sa mise en œuvre est tardive c’est un instrument fixe. 2-3-L’open market : c’est une opération qui mis en relation la banque centrale et les banques de second rang, qui permit l’achat et la vente de titre par la banque centrale uniquement, lorsque la banque achète des titres aux banques de second rang en contre partie la banque centrale émis de la monnaie centrale inversement la banque centrale vend des titres pour récupérer la monnaie centrale, cet achat et cette vente se fait par 3 techniques a- Adjudications par appel d’offre : le fais de faire un appel d’offre aux banques de second rang pour faire des soumissions, donc la proposition d’un taux d’intérêt, d’échéance de remboursement, et d’un montant à louer ; la soumission la plus proche des conditions décidés au par avant par la banque centrale en terme de taux d’intérêt, d’échéance et de montant verra cette monnaie lui revenir. b- Mise en pension : opération qui s’applique de la part de des banques commerciales ; elle concerne la mise de titre au niveau de la banque centrale pour une période limitée. En retour la BC offre de la monnaie centrale, ces titres sont généralement des titres garantis (immobiliers). c- Les opérations de réglage fin : la manipulation quotidienne et sensible du taux d’intérêt directeur par la banque centrale. Ce taux sera dans une marge de fluctuation (taux à fourchette) les banque commerciales ne doivent pas évoluer leurs taux débiteurs ou créditeurs en d’hors de cette intervalle. 4-Canaux de transmission de la politique monétaire : c’est la manière par la quel la politique monétaire influence l’activité réelle. Il existe 4 canaux de transmission. a- Canal de transmission par le taux d’intérêt : les variations du taux d’intérêt auront un impact direct sur les décisions des investisseurs nationaux et étrangers. Exemple : une augmentation du taux d’intérêt → baisse des investissements→ ce qui augmentera l’épargne en vue d’un meilleur profit. « Politique restrictive » b- Canal de transmission par crédit : lors d’une expansion monétaire, le coût du crédit sera moins important (baisse des taux d’intérêt) → ce qui fera augmenter la quantité des crédits à distribuer aux consommateurs et aux investisseurs → croissance de l’activité économique. c- Canal de transmission par le prix des actifs financiers et réels : une expansion monétaire découragera les épargnants qui seront conduit à acheter des actifs dont le rendement est plus important. L’achat de ces titres fera augmenter le prix de ces mêmes actifs c.à.d que les cours des titres sur le marché financier augmenteront et le prix des actifs réels sera également en hausse. d- Canal de transmission par le taux change : lorsque le taux de change de la monnaie nationale diminue, cela stimulera la compétitivité des prix sur le marché internationale, ce qui augmentera les exploitations d’un pays touchant ainsi a sa croissance économique. titre3 : la politique monétaire et l’Etat Algérien : Par la loi 162-144 élaborée le 13/12/1962 qui incite la création de la banque centrale algérienne, dont les principales fonctions était : -La conception et l’élaboration de la politique monétaire afin de maîtriser l’inflation. -Comme toute banque centrale elle était la banque des banques -Elle était responsable des changes et des réserves externes. Lors de sa création elle avait le statut de la banque autonome et suivit une politique monétaire objectif, d’où toute les avances vers le trésor était limitées en termes de temps et de montant et remboursables. Ce n’est qu’en 1965 lors du coup d’Etat et avec la loi de finance complémentaire que fut supprimé l’ordonnance de remboursement et de limitation des avances donc l’autonomie de la banque centrale algérienne est remise en question et sa politique s’est vue subjective. La loi de finance de 1971 est venue accentuer cette non autonomie et la subjectivité de la politique monétaire exercer ; vue le rôle d’acteur principale de financement de l’économie dont avait bénéficier le trésor public. Jusqu’à ce stade la banque n’était seule qu’un acteur de refinancement, les banque étaient obliger de se spécialiser dans le financement d’un seul secteur économique bien précis. Cette situation s’est prolongée sous le regard aveugle des plans de planification, et la désorientation du système bancaire qui submerger dans des lacunes et des insuffisances énormes. Le boom pétrolier de 1986 avait secouer le statut de l’Etat qui avait réaliser son handicap de continuer a financer ses plans de planifications mais surtout il n’avait plus moyens ; en se retirant du financement des projets en cours *la chute des subventions a engendré la hausse des prix donc de l’inflation *les entreprises étaient déficitaires et en sureffectifs ; le licenciement a engendré la hausse du taux de chômage. * la diminution des importations Pour rétablir la situation l’Etat contrainte d’élaborer certaines tentatives de réforme à travers : La loi bancaire de 1986 qui porte sur l’autonomie partielle de la banque centrale algérienne et le désengagement du trésor publique de certains investissements planifiés, mais cette autonomie reste restreinte La loi des entreprises de 1988qui elle donne le statut d’entreprises publiques économiques EPE. La banque centrale retrouve sa place d’autorité monétaire notamment en matière de gestion des instruments de la politique monétaire et la détermination des plafonds de réescompte. Aussitôt que Ces dernières réformes vues à l’échec, conséquence que les décisions en matière de collecte de ressources financières et leur affectation étaient toujours prises dans le cadre du plan national du crédit. Le FMI était l’instrument de mondialisation de faire entrer les pays socialiste dans le vaste processus de l’économie de marché, en 1990 l’Algérie avait transiter avec toute les réformes qui pouvaient aboutir avec la loi sur la monnaie et le crédit de 14/04/1990 qui avait apporter l’indépendance a la banque centrales baptisée banque d’algérie. Elle était seule responsable de la politique monétaire qui limiter les avances vers le trésor à un délai de 240 jours et à un taux de 10%. L’élaboration de la politique monétaire était supervisée par le conseil sur le crédit et la monnaie CMC, cette réforme est revue en 2001avec l’ordonnance de2001 qui stipulée l’ajout d’un autre membre de L’Etat afin de partager le conseil ceci est dans un seul but celui de gérer les réserves de changes et mettre la main sur la banque centrale. Revue encore une autre fois en 2003 celle-ci encore stipulais l’ajout d’un autre membre de l’Etat au conseil d’administration ce qui a remit en cause le rôle et l’indépendance de la banque d’Algérie. Conclusion : Au fait qu’une banque centrale qui agit sur l’activité monétaire et économique par la mise en œuvre d’une politique monétaire efficace doit être totalement autonome. Se faisant elle remplit une fonction du sécurisation du système de paiement alors : que pensez vous du statut de la banque centrale algérienne et de sa politique monétaire ?
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Introduction Titre1 : la banque centrale : 1-Définition 2-les rôles et les attributions essentielles de la banque centrale : 3- mécanismes et domaines d’intervention Titre2 : la politique monétaire : 1-Définition 2-les objectifs 3- les instruments de la politique monétaire 4-Canaux de transmission de la politique monétaire Conclusion
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18 commentaires


Anonyme
Anonyme
Posté le 13 févr. 2017

merciiii

Anonyme
Anonyme
Posté le 11 nov. 2016

  1. merci 

Anonyme
Anonyme
Posté le 11 nov. 2016

sans ce document je ne sais pas que ce que je vais devenir

Anonyme
Anonyme
Posté le 11 nov. 2016

wow trop fort ce site

Anonyme
Anonyme
Posté le 14 mars 2016

merci

 

Anonyme
Anonyme
Posté le 14 mars 2016

merci

Anonyme
Anonyme
Posté le 23 janv. 2016

superbe

Anonyme
Anonyme
Posté le 23 janv. 2016

superbe

Anonyme
Anonyme
Posté le 23 janv. 2016

superbe

Anonyme
Anonyme
Posté le 21 janv. 2016

merci bcp c vraiment gentil c se que je cherche depuis longtemps bonne conituation

Anonyme
Anonyme
Posté le 10 nov. 2015

TThgood jib

Anonyme
Anonyme
Posté le 10 nov. 2015

bien aimee

 

Anonyme
Anonyme
Posté le 10 nov. 2015

bonne continuation

 

Anonyme
Anonyme
Posté le 11 juin 2015

j'ai bien aimé

Anonyme
Anonyme
Posté le 11 juin 2015

c bon

Anonyme
Anonyme
Posté le 19 mai 2015

j'aime!

 

Anonyme
Anonyme
Posté le 19 mai 2015

j'aime!

Anonyme
Anonyme
Posté le 8 févr. 2015

merci bien

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