Pour répondre à cette question, il est intéressant de prendre la question à l’envers, pour dire ce que la Qualité n'est pas. Cet éclairage contraire nous permettra, par contraste, de mettre en perspective ce qu'est la Qualité.
L’ouverture au libre échange a accru la concurrence et l’exigence des clients. ...
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- Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.
La QUALITE
- Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.
- Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.
En outre, des définitions ont été données par des experts, parmi lesquelles on peut citer celles qui suivent :[1]
- Joseph Juran : « l’aptitude à l’usage ».
- Phil Cosby : « la conformité aux spécifications ».
- Kaoru Ishikawa : « l’aptitude à satisfaire le client ».
[1] DETRIE, P., Conduire une démarche qualité, Paris, édition d’organisation, 2003
- Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.
- Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.
Alors, on peut dire que la qualité est principalement liée à la satisfaction des clients de l’organisme concerné, qui doit mettre à disposition tous les moyens nécessaires permettant l’amélioration du bien ou du service, mais également l’amélioration de la bonne gestion interne ainsi que les exigences de société en terme d’obligation exprimées par des lois, des règlementations, des codes visant par exemple la sécurité et la protection du consommateur et de l’environnement.
- Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.
- Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.
- L’aptitude est plus floue à définir. Elle peut être caractérisée par les performances, la sûreté de fonctionnement, la sûreté d’emploi et le respect de l’environnement.
- Une entité peut être un produit, une activité ou un processus, un organisme, etc.
La définition retenue par L’ISO (international organization for standardization) est : « l’ensemble des propriétés et caractéristiques d’une entité qui lui confère l’aptitude à satisfaire des besoins exprimés ou implicites »[1].
[1] LAUDOYER, G., la certification ISO 9000, Paris, édition d’organisation, 2000.
Mais les associations de spécialistes en gestion de la qualité, les associations de consommateurs, les instituts de normalisation se sont efforcés de trouver une définition précise.
Dans le langage courant, cette notion est vague et subjective. La qualité apparaît souvent à l’homme de la rue comme « une étiquette supplémentaire qui aide les commerçants à mieux vendre leurs produits »[1].
[1] FEY, Robert et GOGUE, Jean-Marie, la maîtrise de la qualité, Paris, Economica, 1991.
La notion de la qualité est extrêmement générale et s’applique à tous les besoins, les produits manufacturés, les services, etc.
L’entreprise passe du contrôle de la qualité à sa construction, au travers de l’assurance qualité et depuis les années 80, à la qualité totale.
L’expansion mondiale de la qualité gagne les pays en voie de développement. La qualité d’hier, domaine réservé aux spécialistes, devient progressivement l’affaire de tous.
Un livre intitulé « out of the crisis » a été publié dans le même but, ainsi qu’une longue série de séminaires dans les pays Anglo-Saxons.
En 1980, toutes les actions menées par Dr Deming au développement de la qualité ont été communiquées au grand public américain par des émissions télévisées, des cours et conférences aux PDG des grandes firmes américaines.
Pour cela, les firmes américaines ont fait appel aux meilleurs experts en qualité, notamment Deming, Ishikawa et Juran. Comme résultats, on voit se multiplier les départements d’assurance qualité, les programmes d’amélioration de la qualité et les cercles de qualité
A partir de 1975, les produits japonais inondent le marché, une qualité meilleure pour un prix moindre, et comme l’offre est supérieure à la demande, pour vendre un produit il faut se battre sur tous les plans, notamment sur la qualité
L’ISO (l’organisation mondiale de la normalisation), à son tour, participe à cette information en publiant des normes au niveau international.
C’est principalement grâce à des associations privées telles que l’AFCIQ (Association Française pour le Contrôle Industriel de la Qualité) en France et autres, que les principes et les méthodes du management de la qualité ont été diffusés dans l’industrie occidentale.
Ce mouvement qui bénéficie du support permanent de tous les directeurs d’entreprises, permet d’expliquer en grande partie le succès mondial que l’industrie japonaise connaît maintenant.
En 1970, les cercles de QC japonais connaissent une crise de croissance. 88000 cercles de qualité ont été construits en 1978.
En 1962, les cercles de qualité prennent leur essor. Dans le but de promouvoir ce concept, une revue mensuelle fut éditée à l’intention des agents de maîtrise et des ouvriers.
. La qualité ne pouvant pas être maintenue uniquement par l’inspection, on voit émerger le concept de qualité intégrée au processus.
En 1958 a lieu la première conférence nationale sur la normalisation. Dès lors, une période de promotion des règles de travail dans l’industrie japonaise a suivi.
Ishikawa pense alors à la formation des ouvriers ; jamais jusqu’à ce jour, dans aucun pays, la direction d’une entreprise n’a donné aux ouvriers la possibilité de participer au management.
En 1956, Ishikawa lance un cours de total quality control à la radio. Des milliers d’agents de maîtrise et d’ouvriers écoutent ce cours.
En juillet 1954 c’est le Dr Juran qui a été invité pour donner des conférences sur la Quality Control (QC), et qui eurent un succès retentissant.
Le conseil d’administration décida alors de fonder un prix national en reconnaissance de ses services, et c’est dans ces conditions qu’apparaît en juin 1951 le Deming prize, connu aujourd’hui dans le monde entier comme la plus haute distinction concernant le management.
En octobre 1950, la JUSE édite un livre d’après les notes que Ishikawa a pris au cours des conférences de Deming, qui plus tard laisse ses droits d’auteur à la disposition de la JUSE.
En mars 1950, la JUSE lance une revue intitulée «contrôle statistique de la qualité », qui constitue un excellent moyen de diffusion des méthodes statistiques de la JUSE dans l’industrie japonaise.
Cette organisation étudie les méthodes de contrôle statistique de la qualité, organise des conférences en collaboration avec l’association japonaise des normes industrielles (1945) et invita des experts américains (Deming 1950, Juran 1954).
Afin d’aider l’industrie japonaise à se relever de ses ruines et à vaincre la mauvaise image de marque qui s’attachait à sa production, un groupe d’ingénieurs fondèrent en 1945 la « Japonese Union of Scientists and Engineers », dont Kaoru Ishikawa fut nommé secrétaire général.
Néanmoins, des ingénieurs de Bell Téléphone Laboratoires et d’autres qui avaient travaillé suivant la même théorie dans des usines d’armement, fondèrent en 1947 une association nommée « American society for Quality Control » qui joua plus tard dans l’expansion du management de la qualité.
Après la deuxième guerre mondiale, la demande de produit manufacturé était si grande que les industriels américains cherchaient à produire la plus grande quantité possible sans se soucier de la qualité, et c’est pourquoi la théorie de Shewhart n’eut pas grand succès.
En 1936, Deming invita Shewhart a donné une série de conférences à la Graduat school du ministère de l’agriculture des Etats-Unis, où il enseignait les mathématiques. Le texte de ces conférences fut publié en 1939 sous le titre « Statistical method from the view point of quality control ».
Les coûts des contrôles et des opérations avaient diminué, le volume de production avait augmenté sans que de nouveaux moyens aient été mis en place.
Dès 1930, et grâce à ses méthodes, l’usine de Howthorne avait fait des progrès considérables.
Alors il créa une théorie permettant d’éliminer les défauts en recherchant leurs causes.
http://gestiondeprojet.pm/resolution-de-problemes/
Plagia, tout est du copier/coller !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Document avec des pages non numérotées, dont le quart des pages est écrit !
Un recopié de manuel scolaire de niveau seconde.
- Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.
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