La Qualité : Explications 12.00 / 20

La QUALITE ... Qu'est-ce que c'est ?

Pour répondre à cette question, il est intéressant de prendre la question à l’envers, pour dire ce que la Qualité n'est pas. Cet éclairage contraire nous permettra, par contraste, de mettre en perspective ce qu'est la Qualité.

La Qualité n'est pas :

  • Une idée
  • Un idéal
  • Une utopie
  • Une idéologie
  • Une obligation
  • Un recueil de normes

 

La Qualité est :

  • Un outil d'analyse
  • Un outil de synthèse
  • Un outil d'organisation
  • Un outil de communication
  • Un outil de formation
  • Un outil de responsabilisation
  • Une méthode
  • Un processus complexe à l'oeuvre

 

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50 commentaires


Anonyme
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Posté le 28 déc. 2016

cool

Anonyme
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Posté le 9 sept. 2015

merci

Anonyme
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Posté le 9 sept. 2015

-       Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.

Anonyme
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Posté le 9 sept. 2015

La QUALITE

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

-       Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

-       Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En outre, des définitions ont été données par des experts, parmi lesquelles on peut citer celles qui suivent :[1]

-       Joseph Juran : « l’aptitude à l’usage ».

-        Phil Cosby : « la conformité aux spécifications ».

-        Kaoru Ishikawa : « l’aptitude à satisfaire le client ».



[1] DETRIE, P., Conduire une démarche qualité, Paris, édition d’organisation, 2003

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

-       Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

-       Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Alors, on peut dire que la qualité est principalement liée à la satisfaction des clients de l’organisme concerné, qui doit mettre à disposition tous les moyens nécessaires permettant l’amélioration du bien ou du service, mais également l’amélioration de la bonne gestion interne ainsi que les exigences de société en terme d’obligation exprimées par des lois, des règlementations, des codes visant par exemple la sécurité et la protection du consommateur et de l’environnement.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

-       Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

-       Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.

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Posté le 3 mars 2015

-       L’aptitude est plus floue à définir. Elle peut être caractérisée par les performances, la sûreté de fonctionnement, la sûreté d’emploi et le respect de l’environnement.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

-       Une entité peut être un produit, une activité ou un processus, un organisme, etc.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

La définition retenue par L’ISO (international organization for standardization) est : « l’ensemble des propriétés et caractéristiques d’une entité qui lui confère l’aptitude à  satisfaire des besoins exprimés ou implicites »[1].



[1] LAUDOYER, G., la certification ISO 9000, Paris, édition d’organisation, 2000.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Mais les associations de spécialistes en gestion de la qualité, les associations de consommateurs, les instituts de normalisation se sont efforcés de trouver une définition précise.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Dans le langage courant, cette notion est vague et subjective. La qualité apparaît souvent à l’homme de la rue comme « une étiquette supplémentaire qui aide les commerçants à mieux vendre leurs produits »[1].



[1] FEY, Robert et GOGUE,  Jean-Marie, la maîtrise de la qualité,  Paris,  Economica, 1991.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

La notion de la qualité est extrêmement générale et s’applique à tous les besoins, les produits manufacturés, les services, etc.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

L’entreprise passe du contrôle de la qualité à sa construction, au travers de l’assurance qualité et depuis les années 80, à la qualité totale.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

L’expansion mondiale de la qualité gagne les pays en voie de développement. La qualité d’hier, domaine réservé aux spécialistes, devient progressivement l’affaire de tous.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Un livre intitulé « out of the crisis » a été publié dans le même but, ainsi qu’une longue série de séminaires dans les pays Anglo-Saxons.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En 1980, toutes les actions menées par Dr Deming au développement de la qualité ont été communiquées au grand public américain par des émissions télévisées, des cours et conférences aux PDG des grandes firmes américaines.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Pour cela, les firmes américaines ont fait appel aux meilleurs experts en qualité, notamment Deming, Ishikawa et Juran. Comme résultats, on voit se multiplier les départements d’assurance qualité, les programmes d’amélioration de la qualité et les cercles de qualité

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

A partir de 1975, les produits japonais inondent le marché, une qualité meilleure pour un prix moindre, et comme l’offre est supérieure à la demande, pour vendre un produit il faut se battre sur tous les plans, notamment sur la qualité

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Posté le 3 mars 2015

L’ISO (l’organisation mondiale de la normalisation),  à son tour, participe à cette information en publiant des normes au niveau international.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

C’est principalement grâce à des associations privées telles que l’AFCIQ (Association Française pour le Contrôle Industriel de la Qualité) en France et autres, que les principes et les méthodes du management de la qualité ont été diffusés dans l’industrie occidentale.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Ce mouvement qui bénéficie du support permanent de tous les directeurs d’entreprises, permet d’expliquer en grande partie le succès mondial que l’industrie japonaise connaît maintenant.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En 1970, les cercles de QC japonais connaissent une crise de croissance. 88000 cercles de qualité ont été construits en 1978.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En 1962, les cercles de qualité prennent leur essor. Dans le but de promouvoir ce concept,  une revue mensuelle fut éditée à l’intention des agents de maîtrise et des ouvriers.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

. La qualité ne pouvant pas être maintenue uniquement par l’inspection, on voit émerger le concept de qualité intégrée au processus.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En 1958 a lieu la première conférence nationale sur la normalisation. Dès lors, une période de promotion des règles de travail dans l’industrie japonaise a suivi.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Ishikawa pense alors à la formation des ouvriers ; jamais jusqu’à ce jour, dans aucun pays, la direction d’une entreprise n’a donné aux ouvriers la possibilité de participer au management.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En 1956, Ishikawa lance un cours de total quality control à la radio. Des milliers d’agents de maîtrise et d’ouvriers écoutent ce cours.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En juillet 1954 c’est le Dr Juran qui a été invité pour donner des conférences sur la Quality Control (QC), et qui eurent un succès retentissant.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Le conseil d’administration décida alors de fonder un prix national en reconnaissance de ses services, et c’est dans ces conditions qu’apparaît en juin 1951 le Deming prize, connu aujourd’hui dans le monde entier comme la plus haute distinction concernant le management.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En octobre 1950, la JUSE édite un livre d’après les notes que Ishikawa a pris au cours des conférences de Deming, qui plus tard laisse ses droits d’auteur à la disposition de la JUSE.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En mars 1950, la JUSE lance une revue intitulée «contrôle statistique de la qualité », qui constitue un excellent moyen de diffusion des méthodes statistiques de la JUSE dans l’industrie japonaise.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Cette organisation étudie les méthodes de contrôle statistique de la qualité,  organise des conférences en collaboration avec l’association japonaise des normes industrielles (1945) et invita des experts américains (Deming 1950, Juran 1954).

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Afin d’aider l’industrie japonaise à se relever de ses ruines et à vaincre la mauvaise image de marque qui s’attachait à sa production, un groupe d’ingénieurs fondèrent en 1945 la « Japonese Union of Scientists and Engineers », dont Kaoru Ishikawa fut nommé secrétaire général.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Néanmoins, des ingénieurs de Bell Téléphone Laboratoires et d’autres qui avaient travaillé suivant la même théorie dans des usines d’armement, fondèrent en 1947 une association nommée « American society for Quality Control » qui joua plus tard dans l’expansion du management  de la qualité.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Après la deuxième guerre mondiale, la demande de produit manufacturé était si grande que les industriels américains cherchaient à produire la plus grande quantité possible sans se soucier de la qualité, et c’est pourquoi la théorie de Shewhart n’eut pas grand succès.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

En 1936, Deming invita Shewhart a donné une série de conférences à la Graduat school du ministère de l’agriculture des Etats-Unis, où il enseignait les mathématiques. Le texte de ces conférences fut publié en 1939 sous le titre « Statistical method from the view point of quality control ».

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Les coûts des contrôles et des opérations avaient diminué, le volume de production avait augmenté sans que de nouveaux moyens aient été mis en place.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Dès 1930, et grâce à ses méthodes, l’usine de Howthorne avait fait des progrès considérables.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

Alors il créa une théorie permettant d’éliminer les défauts en recherchant leurs causes.

Anonyme
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Posté le 2 mars 2015

http://gestiondeprojet.pm/resolution-de-problemes/

Anonyme
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Posté le 24 mars 2009

Plagia, tout est du copier/coller !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Anonyme
Anonyme
Posté le 4 sept. 2008

Document avec des pages non numérotées, dont le quart des pages est écrit !


Un recopié de manuel scolaire de niveau seconde.

Anonyme
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Posté le 3 mars 2015

-       Il s’agit des besoins des utilisateurs (ou clients). Soit un besoin défini par l’utilisateur dans un contrat ou une commande, soit un besoin défini par le producteur après une enquête de marché.

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